C'est grâce à toi si je les y ai amenés. Avec vous deux; je m'y suis arrêté au pifomètre et j'ai trouvé que c'était pas mal. L'assiette ne casse rien, mais le patron te laisse une paix royale; il y a un parking; il y a de l'air et les prix sont 200% plus bas que sur le petit port où c'est le coup de fusil. Tous les restos là, sauf deux, sont tenus par des "étrangers", des gens venant du continent et qui ferment dès octobre, dès la disparition des touristes. Le port est alors mort. On n'y voit que des locaux et des gens bien, résidents de longue date (tu vois qui je veux dire ?).
J'ai mangé la même chose: une côtelette énorme comme seuls les crétois savent servir et des frites bien plates et grasses, comme seuls les crétois savent préparer (dans la poêle avec de l'huile d'olive). Beurk !!! Mais je suis habitué. Clyde et Mi… avaient choisi des "soupia", des seiches, baignant dans de l'huile d'olive et du citron. Ils ont vidé leur assiette. Je ne sais pas s'ils ont été obligés de consulter un médecin le lendemain.
Il y a de très bonnes tavernes à Chania, mais à cette période de l'année les prix ont doublés et le service se fait souvent à la va-vite. Le prochain visiteur, je l'entraine de force à Kasteli où il y a de très bonnes tavernes, tenues par des locaux, ouverts toute l'année et où les prix sont normaux toute l'année.
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Du choc des esprits jaillit la lumière.