QUIZ

QUIZ 35 :  cé sur quelle moto ...? 

C'est bizarre, on dirait qu'il y a une grille sous la plaque alu perforée !

Oh ça aussi c'est français !

Benoît a écrit:

Captain Yvig a écrit:

J'avais scotché un poste de radio sur le guidon (le moteur fait très peu de bruit).

Très très fort !

Et est-ce que tu avais une prise usb sur le Solex pour alimenter la radio ?

Et une trèèès grande rallonge ? 
Sinon, à quoi servait la gorge tout en bas du piston du Solex ?

Jim a écrit:

Sinon, à quoi servait la gorge tout en bas du piston du Solex ?

Bonne question Jim !
Je ne sais pas trop, mais j'imagine que ça pourrait être là pour retenir un peu d'huile pour la lubrification.

Jacques a écrit:

QUIZ 35 :  cé sur quelle moto ...? 

Je me demande où l'on peut bien placer ce genre de tôle "industrielle" sur une moto ?

Un sabot moteur ?

Au moment même où j'voulais mettre un indice facile, genre Française 125cc 2T ... 
Bravo Captain !

 
On est en 69-70 et Motobécane/Motoconfort proposent da D125 et la C125, que tout le monde appellera la DC125 ou 125-Standart ... avant les fameuses LT qui suivront.

  petit historique intéressant ici

Assez curieuse et originale (certains diront "laide" ?) à l'époque, cette grille évoque un usage essentiellement esthétique, mais peut être me trompe-je ?

Captain Yvig a écrit:

Oui c'est pour poser les pieds quand on prend l'autoroute.

Le p'tit moulbif devant rougir sur l'autoroute ... les pieds étaient alors bien au chaud. Pratique l'hiver !  

QUIZ 36 : ceci est une jolie pub ... mais pour quoi-qui donc ? 

Mais qu'est-ce que c'est qu'ce bintz ?

Et ce n'est pas sa première triumph au gros matou !

il me fait penser à un blondinet maigrichon qui braillait dans son micro il y a au moins 40 ans, mais alors le nom......? oublié

 j'ai suivi la piste du gros matou ... et bingo !

salut Jacques, tu m'as aussi mis sur la voie avec le matou. il a dû arrêter de fumer car il a pas mal "forci",
les tatouages aussi m'ont aidés: Brian machin chose, mais à l'époque il roulait en HD je crois...

Captain Yvig a écrit:

@Jacques : Dunlop, un slogan du genre "vos pneus sont-ils à la hauteur des performances de votre machine ?", vers 1970.

Yes, c'est un pub de DUNLOP, dans les années 70.

Dans un contexte où les moteurs sont de plus en plus gros et puissants, le message publicitaire consiste à te faire douter des capacités de tes pneus à encaisser la puissance des machines modernes ... alors que justement la marque Dunlop, elle, a les pneus qui conviennent parfaitement, of course !!

On note que le montage n'a pas bénéficié des possibilités offertes par les logiciels contemporains ... et qu'on se doute bien que personne n'a jamais vu rouler la bécane! N'empêche que talent délirant et quel humour, j'adore !   Des cornets pareil devaient être capable d'aspirer des poulets de 8 semaines ...

Maintenant je serais curieux de savoir si ce moteur (en apparence 2 V6 accouplés) a réellement existé, et sur quel engin il était monté ... 

Il s'agit du sidecariste Suisse Florian CAMATHIAS malheureusement trop tôt disparu en course.

PS En cas de réponse trop rapide veuillez m'excuser je ne sais plus le délai à observer.

A cette époque, y'avait sans doute pas les caméras vidéo sous la Mersey.
Alors par où chercher ? Le casque jet, les lunettes de vue, un Italien ou un Anglais ...? Les années 60 peut-être ...?
Au boulot quoi !

Pour être passé par là aussi, me rappelle un étrange sentiment en rapport avec le fait de passer sous l'eau, chose assez inhabituelle pour moi qui passait déjà plutôt souvent au dessus !
Un beau souvenir !

Florian Camathias, 1924-1975, né dans le canton de Saint-Gall en Suisse, garagiste à Montreux, au parcours semé de quelques succès mais surtout d'embûches et de tragédies.
Voici ce que dit de lui Jacques Bussillet :

Avec lui disparaît une figure d'une époque révolue où, à la veille d'un grand meeting, les organisateurs anglais axaient leur publicité sur la course des side-cars et ses vedettes , Camathias au premier rang.
Une époque où un pilote insatiable comme lui pouvait établir des records sur deux et trois roues, gagner le même jour en solo et en side-cars. Courir un samedi à Salzbourg, en Autriche, et le lendemain en France, après 1 000 km de route pendant la nuit.
Quant à l'homme, sa fougue et son intrépidité n'avaient d'égal que sa gentillesse, son optimisme, mais aussi une bonne dose de roublardise. « Même fracassé de partout, il produisait des certificats médicaux attestant qu'il était en état de courir. Je le soupçonne de les avoir faits lui-même » dit Colin Seeley.
Il avait surtout une passion de la moto sans limite : en plein hiver, Florian pouvait partir seul, au guidon d'un side-car de route, pour aller patauger dans la neige du rallye des Éléphants, aux côtés de motards anonymes qui ne le reconnaissaient même pas.