Les pneumatiques

Voilà-t-il pas que ce même gugus, qui a pourtant lu le post ci-dessus, qui a écrit mot pour mot "je vais faire comme Gaeter en été", puis qui hésite "non, ils tiendront encore 5000km", qui a des états d'âme, qui voudrait bien ceci ou plutôt cela, bref qui se comporte comme un gamin dans un magasin de sucettes, nous casse les oreilles avec ses tergiversations.

J’ai donc bien envie, à mon tour, de dire à ce même gugus : « Gunthar, tu m’emme… ! Achète des Conti Road Attack 3 et fiche-nous la paix ! Le prix, on s’en bat la paupière ; la sécurité et le plaisir n’ont pas de prix. »

J’ajoute ceci, hors contexte : Faire 200 bornes pour boire une Chimay est une hérésie. On la trouve à chaque coin de rue, même en Crète. Quand on va en Belgique, on boit une Gueuze au fût, qui elle, ne se trouve que là ! Une Chimay ! La bonne blague ! 

Amicalement vôtre, 
Gaeter, celui avec la couronne de 40 et des Conti Road Attack 3.

Que vois-je ? Des invectives ? Des grossièretés ? Des apostrophes ? Sur mon forum so distinguished !

J'aurais pu dire: "Gunthar, achète les Conti en toute confiance et ne regarde pas à 2 francs", mais c'était trop court. Les membres du forum auraient été perturbés. Puis, c'est pour faire plaisir à Gunthar que nous nous relâchons un peu, parfois, deçà, delà.

Pour parler de pneus sur ma T120 de + de 14 000 kms:
* le pneu arrière (Pirelli) est d'origine et même pas encore rincé !
* le pneu avant a dû être changé à 10 800 kms. Vu le peu de choix en 18 et ne pouvant à ce moment là avoir des Conti Road Attack je me suis rabattu sur l'Avon Roadrider AM26. Et bien depuis 4000 kms je ne m'en plaint pas, je trouve que la machine a gagné nettement en maniabilité et en précision. Par contre je ne sais pas trop ce qu'il vaut sur le mouillé ni ce qu'il en sera pour l'usure la T120 étant maintenant connue pour user du pneu avant. Lorsque l'arrière sera à changer ce qui se saurait trop tarder je suis indécis soit le remplacement par le même AVON ou bien me diriger sur le Conti afin d'anticiper le changement de l'avant en CONTI également ce pneu étant largement plébiscité! Quelqu'un a-t-il déjà monté sur sa machine de l'AVON AM26 ?

Concernant les Avon Storm 3D XM, "moto plus fluide", ça me plait bien et ils ont une excellente réputation sur le mouillé. 
Les Avon Road Rider, je ne sais pas, j'ai lu de mauvais avis sur les sites de vente de pneus. C'est plutôt un pneu référencé Custom je crois.
Sinon, comme je le disais à Pluto, pardon, Gaeter, à propos de je ne sais plus quoi :

sur Allopneus, je trouve les Avon Storm 3D XM à 190 euros le train, ce qui fait 100 euros de moins que pour les Conti Road Attack 3.
Sacrée différence quand même, non ?
De toute façon, je vais plutôt rouler avec la BM cet été, ça peut donc attendre la rentrée pour attaquer les feuilles mortes, le gras mouillé, le froid mouillé, les trombes de flotte, la terre à betteraves, la terre à patates avec des pneus neufs.

Merci Gunthar pour ta réponse; au niveau du prix cet Avon AM26 avant m'a été facturé 73,58 € HT et 115,04 € TTC posé et monté sur la machine.(en 10/2018)

[size=16]Question posée à Avon France vendredi à propos des Storm 3D XM :

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[size=16]Les Storm 3D sont des radiaux, avant comme arrière.
Ces pneus sont homologués par Triumph pour cette machine si j'en crois le Tyre Selector publié par ce constructeur. 
Ce qui m'étonne car toutes mes Bonneville modernes et autres motos à jantes à rayons et chambre à air ont toujours eu un pneu diagonal à l'avant et un radial derrière. [/size]
[size=16]Raison invoquée pour le montage d'un diagonal à l'avant, une carcasse plus rigide qui "s'effondre" moins vite à la crevaison, avec le dégonflage très rapide d'un pneu tube type comparé à un tubeless. Une crevaison moins fréquente à l'avant, mais bien plus dangereuse qu'à l'arrière.[/size]
[size=16]Peut-on par conséquent considérer ces pneus comme recommandables pour montage avec chambre sur jantes à rayons non étanchéifiées ?[/size]


[size=16]réponse : [/size]

Tout d’abord, je ne recommanderai pas un montage mixte avec un diagonal devant et un radial derrière (ou l’inverse). Pour des raisons de comportement, et donc de sécurité, il est préférable de privilégier un montage homogène (radial/radial ou diagonal/diagonal)
Le pneu à construction diagonale a la même tenue à la charge que le pneu radial. Seule une différence existe dans le cas d’un pneu diagonal ceinturé qui lui a effectivement un indice de charge plus élevé. 
Vous pouvez donc sans aucun problème monter du STROM 3D sur votre moto.

Bref, je vais en commander, mais j'aime bien comprendre les choses et je me demande bien pourquoi les anciennes T100 étaient montées en radial derrière et toujours en diagonal devant. Et c'était idem quand on passait en Pilot Activ.

Il s'est enfin décidé ! Félicitations !

A propos de pneus, ma paire de ContiRoadAttack3 a maintenant 2700 km et comme j'évoquais dans un autre sujet, la gomme est très tendre, ce qui donne un super grip en courbe, mais me fais consommer 0,3 litres en plus.
Sur la photo on voit la gomme un peu "boulochée" que le macadam arrache sur l'angle.

Gaeter a écrit:

Il s'est enfin décidé ! Félicitations !

Mouais, j'hésite avec le Metzeler Roadtec 01 à propos duquel j'ai lu un torrent d'éloges, très sécurisant sur le mouillé et s'usant peu. Tarif très correct aussi et possibilité de choisir l'avant en diagonal. 
A moins que je ne revende la T120 pour une Street Twin avant...

Salut la compagnie, 
un premier retour à chaud après le montage ce matin des Avon Storm. Pour comparer, j'ai eu la monte Pirelli d'origine, puis du Pilot Activ à l'avant et PR2 à l'arrière. J'en ai profité également pour faire monter une paire de chambre à air Michelin, (caoutchouc légèrement plus épais que celles d'origine)
Parcours de rodage, 70 KMS environ tranquilou, sec et humide, avec dans l'ordre bout d'autoroute, grande nationale, belle départementale virolante à souhait, et pour finir route de campagne, tractorisée comme il se doit!
Comme Tiz, première sensation, fluidité, s'il entend par là "inscription dans la courbe sans plus d'effort que celui du regard" ! non, j'exagère, on n'a pas des BM , faut les faire virer nos British Trawler, mais pour comparer, le même écart en passant du Pirelli au Pilot; à tel point que le premier rond point je me suis fait presque peur, en sentant la machine anglée toute seule, puis comprendre qu'il fallait  peu d'effort pour l'engager. 
Dans le rapide propre, tenue de trajectoire rigoureuse, sans effort pour la conserver, et surtout, le gros plus, et là même avec les Michelin neufs, dans la même veine que précédemment, c'est la capacité à avaler les "bossellements, devers, rainures" sans jouer sur la tenue de cap. Etonnant!
Et pour fini un chouïa de soft en plus en confort, mais là la subjectivité à toute sa place.
En un mot, pas déçu pour l'instant.
Bon j'ai le rodage à finir, et voir comment ça tient au freinage, sur l'angle, enchainements etc.
Je vais en profiter pour faire un saut chez mon copain producteur de noix du côté de Vinay, et voir les dégâts de l'orage de grêle de samedi passé.
à suivre

Tu peux expliquer à "tes gugusses" que, pour que la moto devienne plus légère, on préconise de gonfler les peuneus à l'hélium.

Je m'insurge contre cette idée stupide et dangereuse de croire que dégonfler des pneus sur la neige ça améliore la tenue de route. C'est tout le contraire. Sur la neige plus on augmente la surface de contact et plus ça glisse. Il ne faut pas confondre avec le sable. Pour vous en convaincre, regardez les roues de voitures de rallye, pour ceux qui se déroulent sur la neige, la largeur de pneu est divisée par 2. Une planche de surf de neige elle est large ou étroite et son but c'est bien de glisser.
Par contre sur le sable on augmente effectivement la surface pour éviter de s'enfoncer.

Par ce temps sec et chaud, les pneus d'origine de la T120 tiennent aussi bien que les tourances next de la Tiger , ce w-end on en laisse de la gomme dans les gorges de la Nesque...

Jean-Phi17 a écrit:

Je m'insurge contre cette idée stupide et dangereuse de croire que dégonfler des pneus sur la neige ça améliore la tenue de route. C'est tout le contraire.

Tu as tout à fait raison, Jean-Phi. J'ai été distrait et j'ai eu tort d'écrire "neige et glace"; c'est bien sur la terre meuble qu'on dégonfle un peu. Tu as bien fait de me reprendre.

La revue Motorrad publie un test de 6 paires de pneus destinés aux grosses « Reiseenduros », lesquels ont été évalués simultanément sur 6 BMW R1250GS. Comme peu de propriétaires de ce genre de machine s’aventurent sur les pistes et comme ces 6 paires de pneus sont toutes aptes à avaler les pistes, ils n’ont donné que leur appréciation sur route sèche et mouillée et sur l’usure.

Sur les 150 points attribués, 6 points seulement séparent le premier du dernier, c’est dire à quel point ils se tiennent dans un mouchoir de poche. J’ai vu plusieurs photos de Scrambler sur des chemins, dans les champs ; cela pourrait les intéresser. Je n’ai pas vérifié les mesures !

Voici ce qu’ils en disent (les points, 1, 2, … sont les places respectives sur route départementale en usage journalier, sur route mouillée, usure) :

1. Continental Trail Attack 3 (1 – 3 – 1) : indétrônable, pour virevolter sur petites et longues courbes : très bon.

2. Pirelli Scorpion Trail II (2 – 2 – 2) : italienne made in Germany, agile, sportif, 2^ème partout ; un super-pneu : très bon.

3. Dunlop Trailsmart Max (2 – 3 – 5) : agile et maniable : très bon.

4. Michelin Anakee Adventure (5 – 1 – 2) : bon choix pour les roule-toujours et touristes virevolteurs ; il n’y a pas meilleur sur le mouillé : bon.

5. Bridgestone Battlax A41 (4 – 6 – 4) : pour rouleurs au long cours, sans aucun défaut, mais ici et là la concurrence est un poil meilleur : bon.

6. Metzeler Tourance Next B (5 – 5 – 6) : bon tout venant, mais n’a pas les qualités de la concurrence : bon.

Merci Gaeter, ça m'intéresse évidemment, même si ce n'est pas le même type de machine (ni le même usage). Je ne connais que le Metzeler et j'en suis satisfait.

En matière de choix de pneus on peut s'en faire une approche avec les tests des essayeur. Après la façon de piloter (conduire pour moi) de chacun, les routes empruntées (en montagne le revêtements des route est plus agressif qu'en saintonge) , ensuite chaque moto diffère, type, poids, équipement, charge embarquée etc..,. font que le ressenti du motard vis à vis d'une monte de pneu varie énormément et chacun font ce faire sa propre opinion, sans compter que d'une série à une autre le même pneu peut donner un rendu tres different.
Bref tout ce baratin pour ne rien dire et ça ne fait même pas avancer le schmilblick

Bon je vous laisse c'est l'heure du petit lapin.

Comme on l'a déjà signalé , la T120 boufferait du pneu avant ( 2 AV pour 1 ou 1.5 AR )
Il est temps de changer mon Pilot Activ après un peu plus de 10 000 kms de bons et loyaux services .
Je persiste dans le choix , on ne change pas une équipe qui gagne ( avec Michelin Road 5 AR qui peut encore travailler jusqu'à l'automne ou l'entrée de l'hiver ) .

Le petit lapin ???

C'est dommage que je ne suive pas le BCBG sur mon phone. Une heure et quarante minutes après la publication du post de Gaeter sur les pneus trails, je faisais monter un train de Dunlop Trailsmart sur ma 700 GS. 
La veille au soir, j'avais fait réparer par un charmant bouclard Yamaha d'Aubenas une crevaison lente (ou fuite de valve). 
Le gars avait ramé avec sa bombe de mousse, sans rien trouver. 
Je perdais 500 g par 24 heures, j'avais 300 bornes de RD à faire le lendemain, un samedi, pas de place dans les sacoches pour la pompe à pieds du beau frère, et pas envie que la fuite s'accélère sur le plateau entre Alès et Lodève pour ceux qui connaissent...
Bombe anticrevaison exclue, ça flingue les capteurs de pression dont ma Sissi est équipée.

Brefle, le gars de Yamaha trouve une micro fuite, répare par champignon, et je rentre tout content chez ma frangine, près à tailler la garrigue le lendemain. 
Sauf que le matin, en partant, à 500 m de chez ma soeur (faut que le bidule s'initialise) le tableau de bord m'indique que j'avais reperdu 500 g à l'arrière. En 12 h donc...
Orage (prévu par la météo) Ô désespoir, Ô crevure ennemie, je m'arrête chez un garageux pour remettre 3 kg et je fonce chez Yamaha. Ca tombe bien, c'est sur ma route. 

Et là, tout le monde est bien embêté : le patron, le mécano qui, ce samedi matin, a un programme de boulot chargé à raz bord. Et puis moi aussi. 
Et c'est là que ma puissante machinerie intellectuelle m'a été utile.
1/ S'il re-répare, il risque de tomber encore à coté de la fuite qui peut n'être qu'une microfissure de silex. Et le problème se reposera dans la pampa, sous le cagnard.
2/ Les deux pneus sont au 3/4 usés. 
3/ Si je ne change que l'arrière, la moto ne va pas être facile à emmener et possiblement chiante tout le reste des vacances que j'ai fort longues car en fait ça n'en est pas vraiment (des vacances)
4/ le pneu avant (un Michelin Anakee 3) a un vilain petit défaut : il émet un fort et désagréables sirènement à partir de 80 km/h, insupportable au delà de 110. A croire que le moteur finit de tuer l'embiellage.
5/ Affilié au réseau Maxxxesss, cet avenant concessionnaire pratique des tarifs très raisonnables sur les pneus, au niveau de ceux d'internet.
6/ Si je veux qu'ils m'intercalent dans le planning de la journée et de préférence dans l'heure, la vente de deux pneus (et allez, soyons fous, d'une bombe de graisse à chaine et d'une valve de réserve) est plus motivante que la pose (gratuite, forcément) d'un deuxième champignon.
7/ Que vaut le Dunlop TrailSmart ? Gaeter dit qu'il n'y a plus de mauvais pneus, mais... 

Bref, si j'ose dire, à midi pétantes, je jaillissais de l'atelier chaussé de neuf, délesté de 240 euros (bombe de graisse offerte) avec 2,4 à l'avant et 2,7 à l'arrière et chantonnais sous ma visière un vieux blues de Mort Schumann en rapport avec un général sudiste, un crocodile et un soleil de feu comme celui qui se reflétait sur ma sacoche de réservoir. 

Que dire du Dunlop TrailSmart puisque c'est de cela qu'il s'agit ? C'est un bon pneu, silencieux, parfaitement insensible aux rainures, franc et stable sur l'angle, un peu lourd à emmener et demandant à retenir un peu la moto dans les épingles où il a tendance à embarquer. 
Bizarrement, la moto est devenue un poil plus lourde et moins agile qu'avec les Anakee, pourtant bien entamés. L'arrière était bien carré après 10 ou 18 000 km sans grands virages, mais il allait encore très bien et j'avais quasiment effacé la bande de peur, et sans la moindre frayeur si j'exclus le bitume en fusion et les gravillons étalés à la pelle.

Tout ça pour dire qu'effectivement, il n'y a plus de mauvais pneus.

Les mecs, franchement, vous m'épatez !
Mis à part les daubes d'origine qui ont failli par deux fois m'embarquer dans un rond point gras et mouillé, je serais absolument incapable de faire la différence entre deux marques de pneus.
Je suis fidèle au BT45 depuis plusieurs années et sinon une usure un peu rapide(changement tous les 6/7000km), j'en suis satisfait.
Mais conduite plus cool que moi, tu meurs .

Jim a écrit:

Les mecs, franchement, vous m'épatez !
Mis à part les daubes d'origine qui ont failli par deux fois m'embarquer dans un rond point gras et mouillé, je serais absolument incapable de faire la différence entre deux marques de pneus.
Je suis fidèle au BT45 depuis plusieurs années et sinon une usure un peu rapide(changement tous les 6/7000km), j'en suis satisfait.
Mais conduite plus cool que moi, tu meurs .

Dingue ça : dans les plaines du Nord de la France, en roulant cool, on fait mini 15 000 km avec un train. Et sans trop sortir d'Ile de France, jusqu'à 20 000 km sur le bitume gras et usé de nos rues/routes.
A 18 000 km, je ne suis pas certain que les pneus que je viens de changer sur ma 700 GS achetée à un parisien n'étaient pas d'origine. 
Un automobiliste parisien fait 100 000 km avec ses pneus. 
En Creuse, mes copains les rincent en 20-30 000 km. Pas le même bitume, pas les mêmes contraintes (virage, freins, montées, etc)

Et concernant la coolitude de la conduite, tout est relatif...
Avec mon trail routier léger et agile, censé être l'outil ultime sur petites routes à virages, je roule fort (pour moi) quand il faut suivre, seul sur ma moto, un poteau sur sa vieille Bonneville et sa copine derrière, qui lui roule archi cool (pour lui). 
Je frotte et pas lui. 
La différence, c'est qu'il connait les routes, qu'il a grandi dans le Sud et la montagne alors que j'ai fait mes trois premières années de moto sans passer au sud de la Loire.
Quand tu roules cool, je devrais peut-être me cracher dans les mains ou faire dans mon froc pour te suivre.
A l'inverse, après une semaine d'entrainement, j'ai largué un troupeau d'allemands qui se trainaient en 1200 GS. Ils ont du me prendre pour le local de l'étape...
Et me suis pris un van d'un petit gars du coin sur son vieux mono KTM de 40 chevaux.

Cela doit être l'âge, mais maintenant je change mes pneus dès que la rainure centrale est à peine visible, inutile de préciser que la bande de la peur est quasiment neuve.... Le dernier train a été changé à 5000km et aujourd'hui, à 13000km, cette même rainure commence à s'estomper. Je ne roule pratiquement qu'en petite montagne et j'utilise beaucoup le frein AR. 
Il faut dire aussi que j'ai lu quelque part que la majorité des crevaisons se produisaient dans le dernier tiers de la vie du pneu. Et ça, c'est un truc qui me parle !

C'est bizarre, mais mes crevaison, c'est toujours pneu quasi neuf ou en fin de vie, jamais entre les deux.